Apolline a trois amours: les gens, les animaux et la photo.
Apolline a trois amours: les gens, les animaux et la photo.
Native de Senlis en Picardie, la petite Apolline rêvait d’être vétérinaire pour soigner les bobos de ses amis velus mais le dieu des maths en a décidé autrement. Comme elle dessinait beaucoup – des visages de femmes aux cils gigantesques, des sirènes ou des animaux (off course) – c’est vers des études d’art qu’Apolline s’est tournée.
Elle entre aux Beaux Arts d’Angers, puis dans une école de graphisme dans laquelle elle rencontre un prof de photo qui lui fera réaliser que c’est dans ce domaine qu’elle veut évoluer. Elle poursuit dans cette voie, travaille pour plusieurs studios parisiens et rencontre Chloé Bonnard (la photographe et fondatrice des Nanas d’Paname) dont la patte pop et graphique lui parle.
Apolline aime photographier la vie, créer un univers autour d’une personne, capter les émotions, associer des détails pour retranscrire en image l’idée qu’elle a dans la tête. Pour elle, c’est toute l’essence et la complexité du métier, ce qui le rend si intéressant.
En ce moment, elle réalise une série de portraits de maitres accompagnés de leurs animaux de compagnie. Un projet intime combinant les passions de la photographe, un projet pour raconter des histoires empruntes de complicité et de tendresse.
Nature, spontanée et romantique (elle est du genre à pleurer en photographiant des mariés), Apolline aime les brocantes, les papiers peints fleuris, les karaokés et les coques de téléphone kitsch. Elle chérit aussi son quartier, le 18eme, ses rues à l’atmosphère populaire comme ses allées paisibles.
Un melting pot d’inspirations qu’on retrouve dans son travail, vivant et délicat. A son image.