Généreuse, dynamique, curieuse, à l’image de mon projet, j’aime croquer la vie à pleine dents, partager avec les autres et rester intègre.
Ce qui nous relie tous les 3 avec Goul et Harold, c’est la musique électronique avec le défi d’y intégrer la chanson française. On essaie de coller le plus possible à nos envies, ça repose principalement sur notre mode de travail collaboratif où chaque idée est débattue à 3 avant validation.
Notre but c’est de faire danser les gens, qu’ils soient dans le lâcher prise, tout en véhiculant un message fort.
On aborde des thématiques qui nous tiennent à cœur et nous relient, on parle aussi bien du plaisir de faire la fête ensemble que de la position de la femme dans notre société 🙂
Üghett existe depuis deux ans, on a pris le temps de nous trouver et d’être raccord à 200% avec nos idées. Le plus important pour nous était d’avoir une direction artistique claire et qui nous corresponde. Cet EP est le fruit de plus d’un an de travail avec les garçons.
Je ne sais pas si on peut parler de rêve, j’ai tendance à essayer de garder les pieds sur terre, en tout cas ce que l’on souhaite c’est vivre de notre art.
Lutter contre les inégalités homme-femme, sans tomber dans l’extrémisme en occultant l’homme.
Dans le projet, ça se traduit par revendiquer la force de la femme et aussi exprimer sans tabou son indépendance, ses doutes et ses douleurs. C’est pour cette raison qu’on a choisi de reprendre « Les nuits d’une demoiselle » de Colette Renard, titre sorti il y a 55 ans, car l’expression du plaisir n’est pas réservé qu’aux hommes 🙂
Pigalle, car j’y suis née, j’ai une vraie histoire avec cet endroit, de nuit comme de jour. C’est le quartier qui correspond le plus à Üghett ;p
Dur comme question avec cette température… 🙂 Je dirais des bottes, ça tient au chaud et ça permet d’avancer !
Gourmande, énergique et un peu bouledogue sur les bords 🙂
« On ne naît pas femme, on le devient » de Simone de Beauvoir.