KARINA VIGIER

Si Karina Vigier devait se décrire :

K comme Kilogrammes, ceux dont j’essaye de me libérer depuis des années et qui persistent et signent.

A comme Atta-chiante, no comment !

R comme Rayonnante, c’est mon véritable but… embellir le quotidien avec des petits riens

I comme Intègre et sans compromis

N comme Nue, parce que je ne sais rien cacher à l’autre

A comme Aimable, j’essaye mais je n’y parviens pas toujours 😉

La mode alias son âme sœur

Karina est avant tout une fashion designer et une “inspiring woman” de 52 ans. Vous avez sûrement dû la croiser dans le ELLE, cette femme vit à 100 à l’heure. De la communication au monde de la mode, Karina est une travailleuse acharnée :

“J’essaye et surtout j’ose. J’ai toujours été différente, là où on m’attendait le moins, j’ai toujours emprunté les chemins de traverse pour éviter la route et ses embouteillages légendaires. Aujourd’hui, j’existe à travers les réseaux sociaux, j’expose et d’une certaine manière j’impose au regard des gens des idées, mes idées.”

Pour cette Nana d’Paname, l’important est d’être soi et de n’imiter personne.  Il faut exister par soi-même et ne pas rentrer dans un moule. Selon Karina, notre différence fait notre force. Son mantra est d’ailleurs une jolie phrase qu’a dit Karl Lagarfeld un jour :  “La mode n’est ni morale, ni amorale. Elle est faite pour remonter le moral !” 

Une battante qui ne lâche rien 

 La vie n’a pas toujours été tendre avec elle, mais après chaque chute, elle aime l’idée de “se remettre en selle”. Ces challenges de la vie lui ont forcément laissé des traces indélébiles… Son physique marqué par la vie raconte bien mieux que mes mots.

A vrai dire, Karina s’est toujours battue pour elle, sa famille, ses enfants, son travail, son argent, ses amis…Et s’il y a une cause pour laquelle elle se doit de lever son poing, c’est “LA FEMME” dans sa globalité et ses spécificités. Elle ne se considère pas féministe mais “LA FEMME”, comme elle dit, la touche et l’émeut. Ce qu’elle trouve dommage, c’est qu’on l’égratigne toujours… un peu… trop.

“ L’amoureuse des mots que je suis, attache de l’importance à ceux-là plus qu’ à tous les autres : liberté, égalité et féminité. ”

L’autre partie importante de sa vie est d’être une super maman ! Sa plus grande fierté est sans conteste ses deux filles :

“Elles sont tellement différentes, mais aussi tellement indépendantes. Je sais, au fond de moi, qu’elles seront à leur manière quelqu’un. Quelqu’un de bien.”