Laureen, que l’on prononce Laurine et pas Lauraine (elle y tient beaucoup) est une humoriste 2.0. Sur les réseaux sociaux, elle rit et fait rire. Une Nana d’Paname qui nous donne la banane !
La pote drôle
Laureen a passé toute sa vie en Ile-de-France, mais c’est dans un brassage de culture qu’elle a grandi. Fascinée par les coutumes du monde entier, elle voyage, apprend des autres et ce depuis toujours. Celle que l’on connaît sous le pseudonyme la pote gênante s’est aujourd’hui fait une place de choix sur les réseaux sociaux. Si elle a réussi, c’est avant tout grâce à un mental d’acier. Son mantra ? « Il faut toujours viser la lune, car même en cas d’échec, on atterrit dans les étoiles » (Oscar Wilde). Tous les jours, elle s’efforce de faire comme si elle était capable de tout. Elle apprend à viser plus grand.
De l’humour, elle en a à revendre ! Ce petit bout de femme dynamique a toujours le mot pour faire rire…ou la perruque. Avec ses vidéos humoristiques, elle rassemble. Pour changer le monde, Laureen tente de faire rire, d’apporter un peu de joie dans des situations plus compliquées. Comme elle le dit si bien : “Le rire est un vecteur si simple pour faire passer des messages”.
Et surtout pote authentique
S’il y a bien une chose que l’on peut dire sur Laureen, c’est qu’elle est 100% elle-même. Plus jeune, elle a tenté de correspondre aux autres. Elle n’en avait pas besoin. Aujourd’hui, Laureen est authentique, ça c’est le moins que l’on puisse dire. Son compte Instagram le prouve, elle ne cherche plus à ressembler, mais à être : “Moi j’ai réussi à créer mon métier, même si demain tout peut s’arrêter bien sûr, mais en restant 100% moi. Je n’ai pas cherché à correspondre et ça a marché à son niveau”. Aucun regret, c’est ce qu’elle souhaite plus que tout. À travers ses vidéos, elle veut montrer que chacun peut être libre de vivre comme il l’entend et ce, peu importe nos injonctions. Elle veut prouver qu’on n’a pas besoin de se ressembler pour se lier. Laureen souhaiterait que la diversité soit à l’honneur. Pour l’avenir, elle reste optimiste : “Les codes c’est éclaté, moi je pense que ça va sauter, pas vite, mais progressivement”.