Touche à tout, Anaïs Delva aime varier les plaisirs. En témoignent ses expériences audiovisuelles d’actrice et d’animatrice et son passage sur les planches dans la pièce La Dame Blanche.
Anaïs Delva nous arrive tout droit du plus thug life des départements, j’ai nommé la Meuse. Il y a 8 ans, elle a quitté sa charmante contrée de Bar le Duc pour rejoindre notre chère Paname et plus particulièrement le quartier Montorgueil. Son côté village, ses petits commerçants, sa localisation centrale. Et ses théâtres à proximité.
Cet univers, celui de la scène, est le fil rouge de sa carrière.
A douze ans, c’est le coup de foudre. Elle tombe amoureuse de Starmania, et bim!, tout devient clair : elle fera de la comédie musicale. Un projet qui se concrétisera quelques années plus tard. Avec Dracula, Roméo & Juliette, Sparmalot ou Salut les copains, Anaïs a réussi à embrasser cet amour de toujours.
Touche à tout, Anaïs Delva aime varier les plaisirs. En témoignent ses expériences audiovisuelles d’actrice et d’animatrice et son passage sur les planches dans la pièce La Dame Blanche aux côtés d’Arthur Jugnot et dès janvier 2018 au Théâtre Trévise dans Enooormes, oeuvre dans laquelle elle tient le rôle d’une jeune femme qui fait un bébé toute seule. Ajoutez à cela la sortie de son single Partons et vous obtiendrez la formule d’une artiste complète.
Anaïs Delva ne cache pas son activisme, orienté sur deux gros chevaux de bataille: le droit des femmes et celui des animaux. Féministe assumée – triste que le terme soit dévoyé et diabolisé – et végétarienne à tendance vegan, elle rêve que toute la planète aille un jour consulter le site de la PETA (allez y, c’est cadeau).
Tolérante, bienveillante « et sûrement chiante » selon ses propres termes, cette bonne vivante fan de Céline Dion est une Ziggy à sa façon, « [une fille] pas comme les autres ».