Hors du commun, improbable, incroyable. Les adjectifs manquent pour qualifier le parcours de Marine de Nicola, cette « aventurière sans limite » comme elle se définit si bien.
Hors du commun, improbable, incroyable. Les adjectifs manquent pour qualifier le parcours de Marine de Nicola, cette « aventurière sans limite » comme elle se définit si bien.
L’épopée de cette toulousaine à l’acceng chantang commence au cours de son dix-septième printemps. Cette année-là, elle part faire un tour du world et pose ses bagages en Chine. La Chine où elle décroche le titre hyper balèze de « vice-championne du monde de Mandarin ».
Mais ça ne s’arrête pas là. Quelques mois plus tard, elle termine finaliste d’un télé-crochet type « The Voice » et devient – on peut le dire – une star. Grosse, grosse notoriété. Pour rappel, l’Empire du Milieu, c’est 1,3 milliard de têtes. Ca en fait des télés.
Quid de la suite ? Elle sera semée d’embûches. Après deux ans passés à Pékin, des médecins annoncent à Marine qu’elle a un cancer du sang. Coup de massue. Elle rentre en catastrophe à Toulouse et décide de prendre le taureau par les cornes: elle croquera la vie avant qu’elle ne la croque.
Après une telle épreuve, elle ressent le besoin de partager son histoire et de parler de la rémission. Elle se lance dans la conception d’un blog et la rédaction d’un livre, Le baiser de l’ouragan, paru en 2017.
Aujourd’hui encore plus qu’hier, les projets foisonnent: préparer un album, écrire un livre de développement personnel, faire du cinéma (elle réalise un documentaire sur la reconstruction)… les idées ne manquent pas à Marine de Nicola dont le franc-parler et la vision humaniste ne tarderont pas à vous séduire.
Avec une bio si dense, on en aurait presque oublié de parler de Paris, pardi ! Paris que Marine de Nicola a élue nouvelle villégiature et au sein de laquelle le VIeme a ses faveurs. Pour flâner, pour écrire, pour rire parce que « la vie est pleine de blagues ! » Bonnes comme mauvaises.